Devant le ‘Diktat’ recrudescent de l’apparence et de la séduction, les hommes sont de plus en plus nombreux à se faire greffer des cheveux, quand le stade de la calvitie est trop avancé. Lorsqu’elle est d’origine génétique ou hormonale, aucune autre méthode que la greffe ne permettra de ‘repeupler’ un crâne dégarni.
Cependant, la région située au niveau de la nuque et des tempes restera majoritairement fournie.
C’est donc à cet endroit, que des greffons seront prélevés pour être réimplantés dans les zones dégarnies, permettant ainsi une repousse naturelle.
La greffe capillaire connait ses débuts il y a une soixantaine d’années environ et, est aujourd’hui techniquement très au point, mais reste très coûteuse en Europe.
Les années 2000 marquent le début du développement des cliniques de greffes capillaires dans les pays ‘low-cost’, comme le Maghreb.
Cet engouement répond à une clientèle désireuse de bénéficier des dernières avancées technologiques et de tarifs plus compétitifs.
Il faut savoir qu’une greffe capillaire est 30 à 50% moins chère qu’en France. La Tunisie propose des prestations identiques à celles de la France, grâce au renom d’un chirurgien diplômé en France et ayant assisté à la première transplantation faciale. Le Maroc, quant à lui, est certainement devenu la destination la plus prisée en terme d’implantation capillaire, grâce à Gil Mennetrey, grand passionné du cheveu. C’est lui qui initie le tourisme médical, en ouvrant la première clinique de greffes de cheveux à l’Ile Maurice. En 2004, il décide d’ouvrir un centre capillaire à Marrakech. Alors qu’à cette période la greffe capillaire n’en est qu’à ses débuts au Maroc, par manque de personnel d’une part, mais surtout de personnes qualifiées. Les médecins, infirmières et assistantes médicales sont formés en France, et acquièrent ainsi une expertise des dernières techniques de pointe. Le Maroc devient donc une destination ‘sûre’, offrant de nombreuses garanties, quant à la greffe capillaire.